Blanzat attaque ses phases finales ce week-end contre Riom-ès-Montagne. L’occasion pour les Blanzatois de se tester après une saison en demi-teinte. Tristan Cardoso, troisième ligne de l’équipe, revient sur l’exercice en cours et le match de ce dimanche !Bonjour Tristan quel regard portez-vous sur la saison ?

Cette saison a été particulière du fait de la réforme avec les poules de brassage. Ensuite, pour ce qui est de nos résultats, je pense que l’ensemble de l’équipe est plutôt frustrée, nous avions un groupe avec lequel nous pouvions prétendre à de meilleurs résultats.

On a senti que vous étiez capables de battre les meilleurs, mais aussi de réaliser des performances moins abouties contre des plus petites équipes, est-ce le cas ?

Oui c’est ce dont je voulais parler quand je disais que nous étions frustrés, nous avons en effet rivalisé et même battu certaines équipes majeures du championnat de Promotion d’Honneur et, à coté de ça, nous sommes vraiment passés au travers de certains matchs qui était à notre portée et c’est des points qui nous manquent en fin de saison.

Comment va se dérouler la fin de saison pour vous à l’approche des phases finales ?

Maintenant nous jouons des matchs à élimination directe donc plus le droit à l’erreur si on veut profiter de jouer encore quelques matchs sous le soleil et ne pas finir la saison tout de suite.

Deux de nos entraîneurs arrêtent à la fin de l’année après trois ans à nos cotés, des joueurs cadres de notre équipe raccrochent les crampons ou partent également l’année prochaine et chaque week-end peut être le dernier ensemble donc on espère faire perdurer ça le plus loin possible.

Votre équipe est dans quel état d’esprit ?

Au départ, le fait que ces phases finales de la Ligue AURA ne parlaient à personne, nous avons pris le premier tour comme un bonus et, après la victoire à Saint-Bonnet, je pense que l’équipe s’est pris au jeu et nous préparons les match à venir sérieusement pour pouvoir continuer à prendre un maximum de plaisir avec les copains avant la fin de saison et ne rien regretter.

Crédit photo : Mélanie Pires